La Démocratie

Boîte de réception
Jean-François AUTIER
dim. 6 nov. 18:12 (il y a 6 heures)
 
À MarcelMARCVIALLARDmcMichelmoimmmavpvMurielRégisRobertSegundoteyssandierThibautTronchevirginienicolas
LA DÉMOCRATIE

Est-ce parce qu'ils sont d'accord que les Français laissent faire Macron et sa clique ? À partir du moment où leur vote Non à l'Europe a été transformé en Oui sans soulever de problème, ils ont été circonspects vis-à-vis des partis politiques, qui n'avaient pas invité le peuple à faire respecter son choix.

Depuis, il y a eu les Gilets jaunes. Face à l'augmentation du prix du carburant, de nouvelles couches de la population entraient en lutte. Plutôt que les accueillir pour leur permettre de prendre place aux côtés de ceux qui étaient déjà dans l'action, ils ont été ostracisés au motif qu'ils étaient "d'extrême droite", comme si le carburant n'était pas le même pour tous, comme si leurs revendications ne rencontraient pas le soutien populaire de masse. Ils ont disparu grâce aux casseurs et autres agents provocateurs, sous les coups de la police de Macron, dans l'indifférence syndicale.

Pourtant, les partis de droite et de gauche allaient faire front, pas ensemble, mais séparément dénonçant un danger d'extrême droite. Les militaires, eux qui ont choisi de risquer leur vie pour défendre la Nation française et son peuple, confrontés à la mise en coupe par le capital des budgets militaires et au recul national au profit de zones de non-droit, osèrent donner de la voix. S'ils furent éconduits par les “politiques”, ils trouvèrent le soutien des Français.

Puis vint le Covid. Oubliant les leçons de l'Histoire et particulièrement de Nuremberg, soumis à une pression médiatique inconnue jusqu'alors, un grand nombre de Français suivirent le gouvernement : masques inutiles mais obligatoires, interdiction de soins mais enfermement avec du paracétamol, hexachloroquine devenue dangereuse, euthanasie au Rivotril dans les EHPAD, confinements, vaccination ne protégeant de rien, etc. Mais, cerise sur le gâteau, des médecins interdits de soigner, des soignants (pompiers, administratifs, etc.) suspendus parce qu'ils n'étaient pas vaccinés, poursuite de la casse de l'hôpital, et, effets secondaires du “vaccin” : des morts et des handicapés. Curieusement, il ne vient pas à l'idée des syndicalistes, et de la plupart des politiques, de demander la réintégration des suspendus sans moyens d'existence. Humanisme, quand tu nous tiens…

Le danger de "l'extrême droite" ayant permis sa réélection, Macron président, oubliant que la France était cosignataire des accords de Minsk, ignorant la résolution 2205 du Conseil de sécurité de l'ONU et les articles 106 et 107 de la Charte des Nations Unies, soutient… l'extrême droite et les nazis d'Ukraine ! Et cela, sans consultation de l'Assemblée nationale ni du Sénat, qui ne protestent pas ! Mais le soutien aux fascistes d'Ukraine a un prix que les Français devraient payer notamment par l'augmentation de leurs factures d'énergie pour une consommation réduite, la désindustrialisation de l'Europe au profit des USA.

Tout se passe comme si la guerre en Ukraine n'était pas la guerre pour la poursuite de la domination de l'Occident sur le monde, autrement dit des USA et du dollar, ou l'avènement d'un monde multipolaire et multidevise. À l'ONU, les trois quarts des nations ont choisi de s'affranchir de l'Occident. Mais la France, son président, la plupart des ses partis politiques et organisations, et une minorité de Français préfèrent la guerre… Ah ! La démocratie !

“La perversion de la cité commence par la fraude des mots.” (Platon, 428-347 avant J-C). Je vais me répéter : le moment n'est-il pas venu de dénazifier la France ?

Jean-François Autier

 

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