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15 mai 2022

La Lettre du 14 mai 2022 patrick-le-hyaric.fr/

 
 
La Lettre du 14 mai 2022
patrick-le-hyaric.fr/
 
 
 
 
 
 
 
 
Bonjour à chacune et chacun,

Personne ne peut être insensible à cette marche chaotique du monde sous l’impulsion d’un capitalisme débridé, franchissant des pas dangereux dans l'anti humanisme comme dans le saccage de la planète. Personne ne peut accepter sans réagir les injustices et le processus de catastrophe qu’elles génèrent.
 
Les enjeux du pouvoir d’achat, c'est-à-dire ceux de la rémunération du travail et de la vie après le travail (dont je parle plus bas, cf. Répondre à l’urgence sociale) ont partie liée avec ceux de la santé humaine, des ressources en eau, du désarmement et de la paix, à l’heure où on dénombre 35 pays en guerre dans le monde.

La covid, dont curieusement on ne parle plus, continue de faire 100 morts par jour en France. Plus d’émotion gouvernementale, ni médiatique. Mieux, pour gagner quelques voix aux élections législatives, le ministre de la Santé décrète, comme ça lui chante, la fin du port du masque dans les transports en commun.
 
Peut-être est-ce justifié, mais pourquoi aujourd’hui, pas hier ou après-demain alors qu’un sous-variant Omicron circule depuis l’Afrique du Sud jusqu’au Portugal.
 
 
La question de l’eau

L’enjeu de l’approvisionnement en eau se pose avec force, avec cette météo estivale qui fait craqueler la terre, étouffe les jeunes plants de blé, jaunit les prairies et ajoute de nouvelles angoisses aux paysans.
 
La combinaison de cette sécheresse et de la guerre poutinienne contre l’Ukraine peut accélérer encore la flambée des prix alimentaires. Consommateurs comme paysans, nous sommes alliés dans un même combat, liant conditions de vie et conditions de survie des écosystèmes indispensable à la production alimentaire.

Il est désormais de plus en plus vraisemblable que le dérèglement du cycle de l’eau douce soit l’un des inquiétants symptômes des modifications climatiques. Un tel processus, s'il devait se poursuivre, mettrait la vie de millions d’êtres humains, de millions d’animaux en péril.

Urgemment, des dispositions pratiques devraient être prises pour venir en aide aux éleveurs et pour réorienter le travail paysan. Par exemple, alors qu’il y a un risque de manque de fourrages, il faudrait cesser d’utiliser des matières premières agricoles pour les agro-carburants et la méthanisation. Les pailles à venir devraient être orientées vers l’élevage et non broyées.
 
Les prix de ces pailles et du foin devraient être bloqués moyennant des compensations étatiques pour les manques à gagner des vendeurs. Au-delà, il convient d’associer consommateurs, agriculteurs et entreprises dans des projets d’utilisation de l’eau pour faire reculer les gaspillages et penser des moyens nouveaux de stockage des eaux de pluie.
 
 
Persévérer pour la paix

La guerre poutinienne contre le peuple ukrainien semble prendre un nouveau tournant dangereux. L’armée russe pratique la politique de la terre brulée, du meurtre, du viol et de la déportation. Peu d'initiatives diplomatiques marquantes sont prises, ni par l’Union européenne, ni par l’ONU, ni par la Chine et encore moins par les États-Unis.

Au contraire, le président Biden jette chaque jour de l’huile sur le feu en décidant augmentations de crédits sur augmentations de crédits, de produire et transporter des armes sur le territoire européen.
 
Deux thèses s’affrontent en ce moment sur les suites de la guerre : celle des États-Unis, expliquant qu’il faut humilier Poutine et le faire battre dans son propre pays, et celle d’une grande partie des Européens poussant au dialogue et au cessez-le-feu, puis à la paix.
 
L’hypothèse américaine est très dangereuse, en ce qu’elle contient en germe un embrasement général sur l’ensemble de l’espace européen. L’incitation faite à plusieurs pays frontaliers de la Russie - Finlande, Suède, Moldavie, Géorgie - à rejoindre l’OTAN, les gesticulations pour tenter le coup de force de l’intégration de l’Ukraine au sein de l’Union européenne, constituent dans l’actuel contexte des provocations qui mettent de l’huile sur le feu.
 
On peut considérer que la situation devient désormais très dangereuse. On ne peut que regretter que nous n’ayons pas été capables d’aider à la levée d’un puissant mouvement pour la paix et pour la sécurité humaine commune.
 
Ajoutons que la guerre sert désormais de prétexte pour augmenter tous les produits alimentaires. Or, il en est qui profite de cette guerre. Les grandes compagnies pétrolières, les sociétés du fret maritime, les spéculateurs sur le blé ou le tournesol et évidemment, les marchands d’armes, notamment ceux des États-Unis.
 
 
L’Europe ! L’Europe ! Mais quelle Europe ?

Ce 9 mai dernier, le Président de la République s’est rendu au Parlement européen pour clôturer un débat sur l’avenir de l’Europe. Il s’est bien gardé, à cette occasion, de donner des éléments sur le bilan de la présidence française de l'Union européenne. Cela se comprend tant il est inversement proportionnel au battage qu’il a fait début janvier avec « la présidence française très ambitieuse ». Mais venons-en au fond.

Comparons l’exécrable niveau du combat politique lancé par la macronie, les cercles des puissances d’argent et l’ancien Président de la République F. Hollande contre le programme européen de la Nouvelle union populaire écologique et sociale.
Celle-ci explique qu’elle dérogerait à certains textes européens pour pouvoir mettre en œuvre un programme soucieux d’améliorer la vie des travailleurs et des citoyens. Appliquer le pacte de stabilité européen ainsi que les critères de déficit public et d’endettement reviendrait, en effet, à appliquer une cure d’austérité sans précédent aux familles populaires.
 
Être contre ces absurdes règles ne fait pas des responsables de la Nouvelle union populaire des anti-Européens. La preuve ! Tous les pays ont dérogé aux imbéciles normes des 3% de déficit public et à celles des niveaux d’endettement gravé dans le traité européen.
 
La Banque centrale européenne fait depuis deux ans des facilités de crédit à taux nuls, voire négatifs, en dehors des règles des traités et du statut de la banque. Pour imposer le prix unique du livre en France, il a fallu désobéir aux injonctions européennes. Il a fallu aussi se détourner des recommandations de celles-ci pour ne pas privatiser nos barrages hydrauliques et il n’a pas été possible de scinder EDF en plusieurs entités sous l’effet des luttes unies des électriciens et d’une position non suiviste du gouvernement.
 
Plusieurs pays dérogent à de multiples orientations et d’article des traités sans conséquence pour eux. Il y a plusieurs constructions européennes possibles selon que l’on choisit de répondre aux exigences du capital ou aux intérêts des classes populaires.

Du reste dans son discours du 9 mai, le Président de la République a appelé à la révision des actuels traités européens. « Il faudra réformer nos textes, c’est évident ; l’une des voies de cette réforme est la convocation d’une convention de révision des traités ». Pourquoi alors, faire ce mauvais procès à ceux qui à gauche appellent eux aussi à de nouveaux traités sociaux, démocratiques, écologiques et de paix. Mieux ! Depuis plusieurs années, le parti communiste appelle à la construction d’une union de nations et de peuples associés et solidaires. Une Europe à géométrie choisie, selon le choix des pays à s’engager dans tel ou tel projet commun. Ceci nous aurait conduits à ne pas appliquer les directives « chemins de fer », celles de dérégulation de l’électricité.

Et voici donc, que le Président de la République déclare « Je suis frappé de voir comment la volonté de nous tenir à 27 nous empêche d’être plus ambitieux… » précisant que « les cercles d’avant-garde n’excluent pas. Cette différenciation ouverte à tous est une condition de cette efficacité et de cette ambition. » Il explique donc, ici, qu’il est pour une Europe à la carte.

Quant à F. Hollande qui avait promis de renégocier le pacte de stabilité avant son élection, il s’était bien placé dans une perspective de dérogation. Il n’en a rien fait. Mais qu’il ne vienne pas aujourd’hui nous réexpliquer que rien n’est possible. Autant décréter la politique unique avec un parti unique, celui des forces de l’argent.

Et l’entourage de M. Macron fustige la possibilité. Le gouvernement a en effet au mois d’avril dernier, répondu aux notes de recommandation de la Commission européenne baptisée « programme de stabilité 2022-2027 », en l’assurant qu’en 2023, la France respecterait bien le critère du retour aux 3% de déficit d’ici l’année 2027.

Autrement dit, si M. Macron dispose d’une majorité à l'Assemblée en juin, c’est une cure d’austérité sans équivalent qui se prépare. Voilà les raisons fondamentales de ces cris d’orfraie et de ces mensonges lorsque la gauche propose de refonder l’Union européenne.
 
 
La voix de Shireen
 
Un tir israélien, au cœur de Jénine en Palestine, a eu raison de la douce voix, raisonnée et forte de Shireen Abu Akleh, journaliste américano-palestinienne de la chaîne de télévision Al-Jezira.

C’est un crime odieux contre une journaliste, contre la presse et la liberté d’informer. Elle venait rendre compte de ce qui est chaque jour caché à l'opinion internationale : les raids de l’armée israélienne sur les habitants de Jénine. Les arrestations journalières dans le camp de réfugiés, les humiliations, les brimades, la violence contre les enfants et les adolescents. C’est parce que le pouvoir israélien veut cacher cela qu’il assassine des journalistes qui pourtant se signalent, comme le faisait Shireen, à découvert, avec le mot « Press » sur son casque et sa veste de reporter.
 
Il est temps que le pouvoir et l’armée israéliens rendent des comptes. Pire, les policiers et militaires israéliens ont encerclé sa maison après son décès, réprimé les rassemblements de deuils jusqu’à charger la foule au moment des obsèques à tel point que son cercueil a failli tomber à terre. Même dans sa mort, Shireen gêne ces abjects personnages. Une commission d’enquête internationale indépendante sous l’égide de l’ONU doit pouvoir enquêter et faire la clarté sur ce nouveau crime.

L’impunité d’Israël doit cesser. Il s’agit ici une nouvelle fois d’une violation de l’article 2 de l’accord d’association entre l’Union européenne et la Palestine. Il est grand temps de décider de sanctions.
 
Pourquoi est-ce possible pour la Russie et ça ne l’est pas pour Israël qui foule au pied quotidiennement le droit international et les résolutions de l’ONU. Ma tristesse est d’autant plus grande que je rencontrais Shireen chaque fois que je me rendais en Palestine. Elle m’a souvent donné la parole pour sa télévision lors de mes visites à Ramallah.
 
Je présente à sa famille et tous ses proches ainsi qu’à la chaîne Al-Jazera mes condoléances et mon soutien.
 
Adieu Shireen.Ta voix continuera de porter.Ton combat pour le droit d’informer, continuera.
 
 
 
Répondre à l’urgence sociale

Entre le mois de mars 2019 et le mois de mars dernier, le prix de l’huile de tournesol est passé de 1,83 € à 2,29 € le litre. Celui de la farine de 0,90 € à 2,29 € le kg. Celui du filet de bœuf de 39,30 € à 43,07 € le kilo, celui des tomates de 2,97 € à 4,09 € le kilo.
 
On pourrait ajouter encore d’autres exemples, comme l’augmentation des prix des carburants pour se chauffer ou se déplacer, notamment pour se rendre au travail. La bouteille de gaz est passée de 34,35 € à 37,30 €.
 
On ne remplit plus sa cuve de fioul de 1000 litres à moins de 1560 € alors que la même quantité coûtait 950€ il y a trois ans.
Le litre de super est passé de 1,47 € à 1,96 € tandis que le gasoil affiche en moyenne plus de 2 € contre 1,46 € en 2019. La même tendance s’observe pour le gasoil non routier qu’utilisent les paysans et les pêcheurs.

La vie devient chaque semaine plus dure pour les familles populaires alors que la rémunération du travail, les pensions de retraite et les prestations sociales stagnent. Les prix des matières premières indispensables à la production industrielle, comme le coton, la pâte à papier, le caoutchouc, l’acier, le cuivre, l’aluminium, l’énergie monte en flèche jusqu’à parfois 80% d’augmentation, renchérissant tous les coûts de production.

Et nous parlons ici du moins mauvais scénario, celui dans lequel il n’y a pas de pénurie conduisant à ralentir les chaines de production ou à fermer des usines. D’ailleurs, curieusement, on n’entend plus le disque rayé des économistes de droite se pavanant sur les plateaux de télévision pour expliquer doctement que le fameux « coût du travail » serait la cause fondamentale de notre baisse de compétitivité.

Jamais ils ne soulèvent la question des prix des matières premières importées, des coûts du transport et de l’énergie comme facteurs de dégradation de la compétitivité. S’ils le faisaient, ils seraient contraints de reconnaître les douloureux méfaits de la mondialisation capitaliste financiarisée.

L’abandon de pans entiers de nos productions industrielles et agricoles se paie aujourd’hui avec plus de 100 milliards de déficits commerciaux, des pénuries et les augmentations de prix pour les familles populaires.

La relance industrielle et agricole ne peut plus être des sujets de beaux discours gouvernementaux, mais des priorités. Les familles populaires souffrent, mais les profits des groupes pétroliers montent aussi vite que le prix des carburants et ceux des géants mondiaux des transports battent tous les records.

Ceux de la seule grande multinationale française de fret CMA-CGM dépassent maintenant ceux de Total.

Une part importante des hausses actuelles des prix des carburants n’est pas liée à des difficultés d’approvisionnement, mais le résultat de spéculations et d’un jeu géopolitique dangereux dans le cadre de l’insupportable guerre déclenchée par le maître du Kremlin contre le peuple ukrainien. La part des prix du pétrole dans le prix final des carburants est deux fois moins importante que les taxes étatiques.

Il en est de même pour les prix des matières premières alimentaires, particulièrement des pâtes et du pain. Il n’y a pas de manque de blé en Europe. Simplement, le prix du blé est fixé chaque jour à la bourse de Chicago par quatre à cinq firmes transnationales et les marchés financiers qui spéculent sur des anticipations de production liées à la guerre et aux modifications climatiques. La part du blé à 400 € la tonne ne représente que 8 centimes d’euros dans une baguette de pain.

Il serait donc intéressant de disposer de la décomposition des différents coûts dans la fabrication alimentaire alors que ni le paysan ni le boulanger ne s’y retrouvent. Cela pourrait être un intéressant sujet d’investigation d’une commission d’enquête parlementaire.

Une nouvelle majorité et un nouveau gouvernement de gauche populaire et écologiste devraient dès juillet prendre des initiatives internationales en lien avec les citoyens, les peuples et d’autres gouvernements pour faire cesser ces spéculations.

Ils devraient aussi, d’urgence, améliorer substantiellement la vie quotidienne de millions de personnes en passant le SMIC à 1800 € brut, en faisant rattraper le point d’indice des agents des fonctions publiques, en augmentant les prestations sociales qui devraient être indexées sur l’inflation, comme les devraient l’être les retraites sur les salaires. Les pensions de retraite ne devraient être inférieures au SMIC.

Ces décisions pourraient être prises dès le mois de juillet, ainsi qu’un premier blocage des prix des produits alimentaires indispensables et de l’énergie. De même une initiative spécifique, en lien avec les autorités européennes, devrait être décidée pour les 9 millions de personnes qui aujourd’hui ne peuvent manger que grâce à l’action solidaire d’associations tel le Secours populaire français.

Une telle majorité d’union populaire et le gouvernement qui en serait issu devraient préparer rapidement une conférence sociale préparatoire à une loi d’urgence pour le pouvoir d’achat et le travail stable avec la fin des contrats précaires, la création d’emplois stables, un immense effort de formations dans le cadre d’un grand plan de transformation sociale, démocratique et écologique.

À ceci devrait s’ajouter des initiatives nouvelles, en lien aussi avec les institutions européennes, dont la Banque centrale européenne, afin d’éviter une remontée des taux d’intérêt des prêts bancaires qui renchérirait le prix des crédits, la dette des ménages, celles des entreprises et des collectivités et de l’État.

Le débat pour transformer la construction européenne est bien sur la table, puisque le Président de la République vient de proposer de retenir la proposition du Parlement européen de renégocier les traités. Pourquoi alors chercher querelle à la coalition de la nouvelle union populaire ?

Les chantiers de transformation immédiate sont immenses. Ils peuvent vite améliorer la vie quotidienne. Le rassemblement de la nouvelle union populaire écologique et sociale est l’atout à la disposition de chacune et de chacun pour soi et sa famille. Il met ces changements tant attendus à portée de vote, dès le premier tour, dimanche 12 juin.
 
 
 
Sortir du capitalisme
Actualité et urgence du communisme


« Le nouveau livre de Bernard Vasseur a votre disposition dès la semaine prochaine, en librairie, dans les kiosques et par commande à l’Humanité »

Bernard Vasseur démontre, exemples à l’appui, à quel point le capitalisme à bout de souffle fait mal, très mal, aux êtres humains et à la nature. Il propose une voie concrète pour dépasser ce système par des actions immédiates à visée communiste.
Il montre comment les communistes français en alliance avec d’autres mouvements et forces ont permis des avancées communistes.
Il propose de faire fructifier toutes ces avancées et d’en obtenir de nouvelles dans le cadre d’une visée communiste sans attendre.

À lire absolument.
 
 
 
SOMMAIRE
Introduction
 
Chapitre 1
Inventer et construire une sortie du capitalisme
Nous sommes entrés dans un nouveau monde très dangereux
La pandémie qui frappe toujours le monde entier
La crise écologique qui s’aggrave
La vie que le capitalisme impose aujourd’hui décivilise et menace l’humanité

Chapitre 2
Concevoir le communisme de notre temps
Passer de la préhistoire à l’histoire de l’humanité
Le poids de l’histoire et la croix du présent
Socialisme ou communisme ?
Réinstaller le communisme sur la scène de l’histoire
Misère de « l’étapisme »
Penser avec Marx contre le « marxisme militant »
L’étapisme en France, ou comment se taire sur le communisme ?
La conscience du contre ne suffit pas à donner la conscience du pour
Non ! Le communisme n’est pas un paradis !
Le communisme ne parle pas qu’à la « classe ouvrière »
Redécouvrir Marx aujourd’hui
Le communisme fait le plein chez les libraires
Ne plus attendre le communisme comme on attend Godot
Il y a du communisme déjà-là

Chapitre 3
La Visée communiste
« Les hommes font leur propre histoire » Marx
« L’homme n’est pas un empire dans un empire » Spinoza
L’unité dans l’égalité du genre humain
Liberté-égalité-fraternité : du slogan au réel
La visée communiste : un processus multiple de désaliénation
Suivons par l’imagination la vie d’un jeune de banlieue
Aliénation et émancipation
L’Accumulation du capital et sa naturalisation : la saga bourgeoise et édifiante de l’emploi et de l’employeur
Établir la souveraineté des travailleuses et des travailleurs sur le travail
Une conception nouvelle des rapports entre les humains
Une nouvelle définition de la valeur
Une nouvelle conception de la propriété
Une nouvelle définition du travail
Une nouvelle conception du salaire : le salaire communiste
La puissance du salariat
Il y a des déjà-là du communisme qu’il faut généraliser
L’État et l’exercice de la politique dans la visée du communisme
Le pouvoir politique est lion et renard
Ce qui ne va pas : quand citoyen veut dire apolitique
« On ne peut aller au communisme que par le communisme » Bernard Friot
 
 
En vous adressant mes amicales salutations, je vous souhaite une bonne semaine.
 
Patrick Le Hyaric
 
 
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5, rue Pleyel - immeuble Calliope
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© 2020 Patrick Le Hyaric
 
 
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